Ryback, Ber Issachar

  • At the Samovar,1930 Huile sur panneau 27 x 22 cm

  • Le dresseur, 1930 Huile sur toile 46,5 x 50 cm

  • Synagogue a Pianov,1919 Huile sur toile 57 x 55 cm

  • Ox, 1916 huile sur carton marouflé sur toile 28 x 35,5 cm

  • Juif avec ses Tefilin, 1925 aquarelle sur papier 38 x 28,5 cm

  • Projet de costume pour le theatre,1917 Aquarelle sur papier 52 x 39 cm

  • Le hameau,1925-30 Huile sur toile 62 x 80 cm

  • Mayselekh,1918-22 27 x 35 cm

  • Jewish Theme V, c.1922-1923 Crayon sur papier 32 x 25 cm

  • Projet de scène pour le Kultur Ligue Theatrical StudioC. 1925 Crayon sur papier 35 x 49 cm

  • Thème juif I1922-1923 Crayon sur papier 32 x 25 cm

  • Thème juif III1922-23 Crayon sur papier 32 x 25 cm

  • Thème juif IV1922-1923 Crayon sur papier 20 x 21 cm

  • Thème juif II1922-1923 Crayon sur papier 32 x 25 cm

  • Sans titre (Enfants)1929 Huile sur toile 72,8 x 92,5 cm

1897 – 1935 Né en Ukraine, Issachar ber Ryback suit ses études artistiques à l’Académie des beaux-arts de Kiev dès 1911 puis est envoyé en 1916, avec El Lissitzky, en expédition afin d’étudier l’art et l’architecture des synagogues à Moscou par la Société ethnographique juive. Il s’installe définitivement à Paris en 1926 où son atelier est un lieu de rencontre pour des artistes et des intellectuels comme Chagall, Modigliani et Soutine. Il rejoint alors l’Ecole de Paris qui regroupe grand nombre d’artistes d’origine juive venus d’Europe de l’est et de Russie. Il rencontre alors Makowski, Zak, Markus, ou Mutermilch. A Paris, il adopte un nouveau style de réalisme, représentant la vie du ‘shtetl’ russe et faisant ressortir le caractère distinctif et puissant de ses sujets yiddish. Il se lance, dans le contexte de la révolution russe, et élabore avec ses amis artistes une expression artistique spécifiquement juive, qui puisse concilier la tradition avec la modernité, dans laquelle le groupe s’engage. Au début des années 1930, l’artiste devient incontournable et est le sujet de nombreuses expositions dans les galeries parisiennes. A ses débuts proches des cubistes, il s’oriente vers des thèmes touchant au folklore juif par la suite.

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